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l'afrique est un continent immence, nul ne l'ignore n'est il pas paradoxal dans ce cas de vouloir evoquer la vie de tous jours qui ne peut que varier d'un pays a l'autre, tant les langues sont nombreuses, les civilasations differentes, les paysages dives ?

Et pourtant, traditions orales et litterature moderne d'inspiration traditionnelle font de cette vie quotidienne un tableau qui, à condition d'eviter tout esprit de systeme, permet de degager des caracteristiques communes a tous les pays.

Pays de savanes, de forets, bords de mer ou de lagunes, etendus semi-desertiques, partout de grabdes espaces, partout une existence liée aux rythmes des saisons, partout le desir de se concilier la nature dont depend etroitement la vie de tous les jours.

<< QUAND LA SUEURE DE L'INDIEN SE TROUVA BRUSQUEMMENT TARIE PAR LE SOLEIL QUAND LA FRAINESIE DE L'OR DRENA AU MARCHE DE LA DERNIERE GOUTTE DE SANG INDIEN .

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ON SE TOURNA VERS LE FLEUVE MUSCULAIRE DE L(AFRIQUE POUR ASSURER LA RELEVE DU DESESPOIRE>>